Bon faut dire qu'à 6h pétantes, à peine remise de mes aventures noctures, j'étais déjà debout, pour retrouver mes Kommilitonen (camarades) en bas de l'immeuble à 6h50... ça aide pas à avoir les yeux en face des trous. Le voyage en bus, plein à craquer d'étudiants endormis (tous les Erasmus du cours d'allemand, avancés et débutants, plus un groupe d'Ukrainiens et de Russes) a quand même duré 3h. Dresden c'est une ville de playmobil, tout y est bien tracé, bien découpé, bien coloré, bien empaqueté... c'est joli j'dis pas, mais ça manque de vie, c'est aseptisé. Bon évidemment on la regarde autrement quand on connaît son histoire, à cette ville, entièrement détruite en février 1945 par les forces alliées (35 000 morts!). À la différence de Berlin, Dresden a été en grande partie reconstruite, à l'identique.
vendredi 28 septembre 2007
mercredi 26 septembre : Dresden quand tu nous tiens !
Bon faut dire qu'à 6h pétantes, à peine remise de mes aventures noctures, j'étais déjà debout, pour retrouver mes Kommilitonen (camarades) en bas de l'immeuble à 6h50... ça aide pas à avoir les yeux en face des trous. Le voyage en bus, plein à craquer d'étudiants endormis (tous les Erasmus du cours d'allemand, avancés et débutants, plus un groupe d'Ukrainiens et de Russes) a quand même duré 3h. Dresden c'est une ville de playmobil, tout y est bien tracé, bien découpé, bien coloré, bien empaqueté... c'est joli j'dis pas, mais ça manque de vie, c'est aseptisé. Bon évidemment on la regarde autrement quand on connaît son histoire, à cette ville, entièrement détruite en février 1945 par les forces alliées (35 000 morts!). À la différence de Berlin, Dresden a été en grande partie reconstruite, à l'identique.
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1 commentaire:
Bizarre qu'avec ce double-menton, Auguste II ait conquis autant de coeurs!
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